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5 trucs bizarres de l’éco-pratiquant.e #3

trucs éco-pratiquant
Publié le :25/10/2021
 » Agir même si la solution parfaite n’existe pas, car l’important c’est d’avancer «
Julien Vidal

Bonjour,

Voici un nouvel article sur le trucs « bizarres » que je pratique.

Pour les trucs et astuces précédents, voici le lien des articles

Le lien du test se trouve ci-dessous :

Maintenant, regardons tout de suite les 5 astuces, celles qui me caractérisent ces derniers mois 🙂

Les 5 astuces

  • 1. Recycler les peaux de bananes en engrais

Deux possibilités complémentaires pour que vos plantes aient un complément de potassium, bien utile pour leur développement :

– soit disposer les bananes dans de l’eau. Laisser macérer pendant minimum 24h (normal si un dépôt de pourriture se forme). Pour un engrais encore plus puissant, laisser macérer pendant 15 jours.

– soit les couper en petits morceaux et les disposer au pieds de vos plantes, voire les enterrer à la surface de la terre.

  • 2. Mettre des habits troués

La photo ne rend pas justice de cette pratique. J’ai des leggings troués, des t-shirts aussi. Ce sont mes préférés et mes essentiels. J’ajoute des couches pour que cela ne se voie pas et je profite à fond de mon habit. Impossible à réparer car le tissus est devenu très délicat à ses endroits -là

  • 3. Ramener les déchets à la maison

#unjourundéchet

C’est une pratique que je fais depuis longtemps. Je vois un déchet par terre, je le ramasse. Et souvent si c’est un déchet recyclable, je préfère le ramener chez moi afin de lui laisser une chance d’être réellement recycler.

Et surtout, je ramasse les déchets dans les parcs et forêt afin de ne pas les laisser trainer tout simplement.

  • 4. Mettre des chaussettes différentes

C’est d’abord venu par souci pratique : dans mes pairs certaines chaussettes étaient troués, d’autres non.

Ensuite, par souci de simplicité dans le pliage du linge propre. Je mets toutes mes chaussettes ensemble dans mon bac. Plus besoin de passer du temps à trouver la paire. Je les mets et c’est tout.

  • 5. Couper ma pelouse à la cisaille lorsque c’est uniquement nécessaire

Eco-pratiquant.e

Un nom choisi en conscience

C’est un terme que je trouve très approprié à la transition écologique.

En effet, quoi de mieux que de pratiquer afin de prendre conscience de son parcours, afin de regarder son évolution, afin de continuer à progresser.

Comme je l’expliquais dans l’article des définitions : « L’écologie est « une science qui étudie les relations des êtres vivants entre eux et avec leur milieu ».

C’est donc le lien, la relation, la collaboration, l’interaction qui sont en jeux. Cela passe par acheter local, chez des artisans, dans la ferme à côté de chez toi, au marché du wk, dans une brocante, …

Et aussi par prendre soin de son habitat, de son jardin en respectant le vivant. C’est à nouveau un chemin. Par exemple, ne pas tondre sa pelouse est venu au fil du temps.

Nous pratiquions déjà le « jardin du paresseux » afin de faire revenir la biodiversité dans notre jardin.

  • Très peu de coupes (uniquement ce qui est nécessaire côté rue afin que les voitures et camions passent).
  • Pas d’arrachage de mauvaises herbes (aucune herbe n’est mauvais, juste le reflet de la composition de la terre)
  • Une zone sauvage

Et l’absence de tonte est venu avec le confinement. Nous étions tellement dans le jardin que les herbes ne poussaient presque pas. Il a fait très sec cette année-là. Cela a démontré à mon mari que tondre à la tondeuse électrique était un non-sens.

Notre zone de jardin est petite : donc je le fais à la cisaille. Pour les grandes zones, j’ai découvert le principe de la faux à l’écolieu ou nous allons. C’est tellement agréable : pas de vibration forte dans le corps et un mouvement continu, presque comme de la méditation. C’est pareil avec la cisaille. Je m’abaisse, je mets mon corps à hauteur du sol et je vois toute la vie qui existe dans mon jardin. Je fais le même mouvement, toujours.

J’ai appris récemment que la permaculture c’est aussi de laisser aller la nature un maximum seule et d’intervenir juste le nécessaire en essayant vraiment d’être le plus doux possible avec elle.

Tout cette histoire pour expliquer qu’à force de PRATIQUER, j’évolue. J’évolue dans un cercle vertueux. Un cercle fait de choix conscients. Des choix conscients en interaction avec le vivant. Le vivant, l’être humain, les animaux, le végétal. Car tout est lié.

C’est l’objet du deuxième chapitre

Transition écologique intuitive au quotidien

J’appelle ma transition écologique « intuitive et au quotidien ». C’est un choix conscient et pleinement assumé. Depuis maintenant quelques mois, je m’érige en éco-pratiquante fière de mon parcours.

Il m’a apporté le bonheur, la conscience de la gratitude et surtout la fierté de commencé un blog, un compte Instagram, puis

La transition écologique concerne tous les domaines de ta vie… et pas seulement le zéro déchet.

Chaque jour, je me rapproche de cette vie que je rêve d’avoir. Que je rêve pour mes enfants. En conscience. C’est devenu une norme pour eux. Je remercie mes choix qui me permettent de transmettre. Transmettre, n’est-ce pas une merveilleuse mission?

Transmettre en cette période d’angoisse du futur de la terre. Car je ne suis pas naïve sur la difficultés de la vie, bien au contraire. Eux aussi. Ils sont conscients. Ils apprennent parfois dans la culpabilité de ce qu’il laisse, dans le jugement des autres, dans la frustration.

Mais ils sont heureux et le disent souvent. Avec cette vie, ils apprennent à suivre ce qu’ils ressentent, à écouter leur corps, à observer la nature. Même à l’âge de mon aîné, 12 ans.

Ils écoutent leur INTUITION au QUOTIDIEN.

Et moi, je me régale de les suivre et de vivre pleinement les choix que j’ai fait.

Découvre quel.le éco-pratiquant.e tu es?

Le lien du test est ci-dessous.

Ce test, je l’ai pensé comme des petits actes du quotidien que l’on peut accomplir, parfois sans effort, parfois avec un peu de réflexion sur ses habitudes et croyances et parfois en demandant d’agir tout simplement. Ce sont des gestes qui concernent les domaines du quotidien : nourriture, transport, soin, achat, numérique, …

Pour ma part, je suis une éco-pratiquante l’ARBRE. J’ai déjà fait trois fois le test. J’évolue beaucoup. J’ai été un arbre source de vie. Et je suis redevenue un arbre. C’est ok avec cela car j’ai conscience que j’agis sur d’autres domaines de ma vie en parallèle..

J’en parle ici :

Les résultats sont liés au cycle de l’arbre. Il grandit doucement, mais il grandit toujours. Il s’associe au vivant autour de lui pour un meilleure ancrage.

La graine peut parfois mettre plusieurs mois avant de devenir une petite pousse.

Alors, dis-moi en commentaire où tu te situes dans ta transition?

Explique moi/nous qu’as-tu envie de pratiquer comme étape suivante?

Conclusion

La conclusion est selon moi sans appel : pratiquer, pratiquer, pratiquer, pratiquer, …

A force, tu seras un.e éco-pratiquant.e fier.ère, tu grandiras dans ta transition écologique intuitive au quotidien. Je vais vous avouer un truc : au départ, j’ai commencé le zéro déchet, une nourriture respectueuse de notre corps, … pour simplement prendre soin de la planète et de mon corps. Maintenant, je me rend compte combien je suis heureuse, combien cela m’a apporté, combien je me sens alignée avec mes valeurs. Je sais que le chemin est encore long. Chaque jour est une nouvelle opportunité, chaque action est une réflexion.

Et toi, quelles sont tes trucs bizarres que tu pratiques?

Je te remercie beaucoup de m’avoir lue jusqu’ici. C’est tellement agréable d’avoir un retour. Alors n’hésites pas à écrire un commentaire en dessous de l’article, cela me fera énormément plaisir.

Belle journée

Véronique

Eco-pratiquante intuitive

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